jeudi 17 janvier 2008

Mauvais service au Normandin, après 1h15 d'attente, je mets au défit la grosse serveuse de nous rattrapper pour nous faire payer notre verre d'eau

Mardi midi, enfin les vacances! Comme mon copain et moi avions été très occupés, aucun préparatif de vacances et aucune commission n'avaient été entamés. Donc nous n'étions pas partis de si tôt, mais pas de stress, nous sommes en vacances!! Donc c'est un départ vers les commissions, Marshmollow et moi devions aller au magasin de vélo Demers à Limoilou. Moi pour vendre mon vieux Gary Fisher Tassajara et Marshmollow pour ajuster le pédalier de son nouveau De Vinci hybride performance. Ensuite, direction Canadian Tire pour se procurer un bidule pour l'auto pour recharger toute la technologie nécessaire à notre voyage: ipod, ordinateur, cellulaire, caméra numérique, la mienne et la sienne), mini réfrigérateur... bref tout l'attirail, pour pour se ressourcer en nature. Maintenant, direction Montain Equip. Coop, questions d'acheter les cossins de camping manquants. Mine de rien notre virée a comme à l'accoutumée durer plus longtemps que prévu, Marshmollow a yeuté les articles d'escalade, moi les vêtements. Bon allez, c'est le temps d'aller à la maison faire les valises et pacter la voiture.
On a une grande Subaru legacy Outback, donc on a de l'espace, youppi!

Nous retournons à la maison. Non mais c'est bien fatiguant toutes ces commissions, j'ai bien le droit à une partie de zuma avant de commencer les bagages. Marshmollow accepte à condition que lui aussi en joue une ensuite. Marshmollow a chaud et il se déshabille, ça me fait rire de le voir se promener et préparer le matériel de camping en tenue d'Adam, surtout qu'il est presque constamment en érection. Il passe me déconcenter en agitant sa verge sur mon avant-bras. Je le sais il essaie de m'allumer et ensuite il repartira à ses occupations, évidemment je perds une de la douceur de ma bouche, il se remet rapidement au boulot. Je termine ma partie et voila que l'homme nu s'installe à son tour pour une partie.

Donc, je m'y mets: une bonne douzaine de paire de bobettes, des bas, camisoles, brassières, pantalons, pantacourts... Je remplis le sac à dos et soudain je me fais prendre par en arrière,
tâter un peu les seins. Marshmollow aime bien me pincer les mamelons afin de voir s'ils sont bien durs, comme il les aime. S'ils ne le sont pas, il les mordille et les lèche jusqu'à ce qu'ils
le deviennent. Marshmollow me pénètre d'un coup. Je résiste en disant qu'il fait chaud et que j'aimerais bien prendre une douche. Rien à faire, il rétorque qu'on prendra notre douche après. J'aime bien quand il me surprend et qu'il prend l'initiative, mais il fait toujours ça quand
j'suis occupée, mais bon on ne peut pas tout avoir. Le rythme est bon, ferme et soutenu. Je sens que sa pulsion est forte et qu'il éjaculera trop rapidement si on ne change pas de position. Je m'étends donc sur le lit qui est juste à côté afin que nous adoptions une
une position un peu plus classique. Marshmollow est maintenant plus doux, il m'embrasse tendrement et sa cadence est rallentie. Mais je crois qu'il en est déja au point de non retour, "ça sera pour une prochaine fois pour toi ma belle", et voilà, il vient. J'avoue que même si je n'ai pas eu d'orgasme, c'est quand même un bon début de vacances. Nous nous douchons, finissons les préparatifs et enfin nous prenons la route. Nous avons l'intention de nous rendre au bic pour camper et d'arrêter manger et mettre de l'essence à Montmagny. Arrivés à Montmagny, le choix gastronomique est mince, à l'intersection, McDo ou Normandin. Je laisse trancher Marshmollow, car sinon il me fera la gueule. Il choisit donc le Normandin car je crois qu'il est en overdose de McDonald. Il est 19h00, C'est un peu le rush au restaurant, nous attendons quelques minutes avant qu'on nous assigne une place, mais rien
d'allarmant. Une fois assis, Monique la gentille serveuse nous laisse poirotter plus de 25 minutes avant de prendre notre commande et de nous apporter un verre d'eau. J'ai eu le temps de changer d'idée trois fois, combo ou spaghetthi pizza ou panini ou lanières de poulet. Afin de tuer le temps, je fais des tests de macro sur un 2$. Je photographie Marshmollow en noir et blanc ,Marshmollow qui sourit, Marshmollow qui tient son menu. Bon ras-le-bol des photos, l'outil par excellence pour tuer le temps dans un restaurant familial: les crayons de cire!! Quelques parties de bonhomme pendu devraient nous faire oublier notre impatience et nous amuser un peu en attendant nos assiettes. Une fois les 2 napperons couverts, nous consultons l'heure et réalisons que ça fait 1h15 que nous sommes entrés. J'offre à Marshmollow de partir, il hésite un peu, je me lève, il me suit. Il y a toujours ben des limites, nous ne sommes toujours ben juste au Normandin, j'ai commandé un spag et Marshmollow un sandwich. Une fois dans l'auto nous voyons la serveuse arrivée avec nos assiettes, ce fut une délicieuse sensation pour nous de la voir avec son air idiot nous chercher et se demander si elle était bien à la bonne table.
Pour notre part, 15 minutes plus tard, nous avons englouti un bn mcdo, mis de l'essence et nous voila sur la route. Haleluiah!

Environ vis a vis La Pocatière, Marshmollow s'exclame: Chérie j'ai une érection! Décidément les vacances l'excitent! Je vérifie l'intensité de cette érection. MMM, ça m'intéresse. Je me pencherais bien pour le déguster un peu, le caresser de ma langue, mais je me retiens en me disant que ça sera meilleur plus tard et qu'un accident dans le bas du fleuve à la premiere journée de nos vacances, ce serait un peu ordinaire.

Comme il se fait tard, nous décidons de se louer une chambre à Rivière-du-Loup à l'Auberge de la Pointe. Nous jouons à Zuma, buvons quelques bières, discutons et regardons un film trois x téléchargé sur le net. Le film étant en Espagnol, nous avons de la difficulté à capter l'essence réelle du film, surtout que nous sautons les passages sans intéret.
Finalement, le film entier s'avère sans intéret, donc nous arrêtons le film en se disant que ça tue la libido ces trucs-là. Pas besoin de ça pour se stimuler. Il me carasse donc doucement le ventre en montant vers les seins tout en m'embrassant dans le cou. J'ai un frisson et je roule sur lui en l'embrassant passionnément de ma bouche humide. J'ai envie de lui, comme je suis restée sur mon appétit pendant l'PM. Je déplace donc ma petite culotte ( ça m'a toujours excitée c'est comme c'était interdit ) afin que son sexe bien dur s'y enfonce profondément. Je prends ses poignets et les pousse contre l'oreiller, et quand je vois son air satisfait de dominé heureux, j'atteins vite mon plaisir, le laissant bredouille (lol brecouille) à son tour, bredouille mais tout de même heureux de m'avoir enfin vue jouir. Je me sens détendue, je m'ouvre une bière, une richards white. ça se boit.. tout seul. Je vais prendre une douche et enfile une
petite tenue de nuit. Il fait chaud dans la chambre, je m'allonge sur le lit, par dessus les couvertures et je joue une partie de zuma sur le portable. Marshmollow lui s'amuse avec la lampe frontale qu'il m'a offert pour mon anniversaire. Il semble bien apprécier sa bière aussi. Il vient s'allonger dernière moi et regarde ma partie de zuma, quand tout d'un coup il s'apercoit que je n'ai pas mis de petite culotte. Je suis allongée sur le ventre et il passe son doigt entre mes lèvres encore humides de la douche. Il effleure mon clitoris sournoisement. Il aime bien m'agacer comme ça. Je sens mon désir qui revient, je me tortille, je commence à mouiller et l'encourager à entrer son doigt dans mon vagin. J'ai une telle envie de pénétration que je délaisse mon jeu et me mets à 4 pattes. Il prend son pénis dans sa main et le frappe contre mes fesses.Il me pènétre par derriere. Il me tâte l'anus de son doigt, c'est tres excitant. Il mouille son doigt à plusieurs reprises pour me lubrifier. Ça semble l'exciter autant que moi
car je l'entends gémir, lui qui normalement est silencieux. Il enfonce son pouce doucement et il jouit instantanément, je crois qu'il s'est surpris lui-même. Je l'envis, il a encore atteint l'orgasme sans moi. Je suis encore très excitée, je me caresse un peu avec Marshmollow tout prêt qui me caresse les seins, je raidis, je pousse un soupir. Nous nous endormons. Il doit être 1h00 du matin.

dimanche 12 août 2007

le tour de la Gaspésie


La première nuit dans la tente a été très bonne. Nous nous étions couchés très tôt après le coucher du soleil, alors à 6h30 nous levons déja le campement. À 7h00, nous sommes déjà à Mont-Louis pour faire le plein d'essence. Comme c'est une station avec service, une jolie femme blonde d'âge mur vient à la rencontre d'Marshmollow qui est sorti de la voiture. Je suis assise en avant sur le siège passager. Elle semble lui faire une belle façon, car dans le rétroviseur, je le vois qui sourit. Il a les yeux pétillants. Parcontre je n'entends rien de leur conversation. Je ne vois que la pompiste de dos.

Elle est grande et mince, porte un jeans moulant. Elle a de grandes jambes. Non mais qu'est-ce qu'elle lui veut. Elle ne pourrait pas tout simplement faire son travail. Et puis, je comprends pas ce que cette femme fait seule à une station service dans ce trou perdu, et ce de si bonne heure le matin.

Bon enfin, Marshmollow se dirige vers l'intérêt pour payer. Elle le suit de près. Il lui tient gentillement la porte. La porte se referme, il ne me reste plus qu'à attendre. C'est long, je m'imagine tout plein de choses. J'imagine la femme s'agenouiller devant Marshmollow et lui dézipper tranquillement la fermeture éclair, je me demande s'il résisterait. J'aimerais me dire que oui, mais en même temps je me dis qu'il y a si peu de chance qu'une chose pareille arrive dans la vie d'un gars, qu'il se laisserait sûrement tenter. Bon enfin le voilà qui revient, je ne lui parle pas de mes pensées vicieuses. Je remarque que la fermeture éclair de son pantalon est descendue. Je n'en parle pas. J'ai sommeil. Je m'endors.

Je me réveille à Cloridorme. Étonnant que j'ai dormi sur le trajet car la route est très sinueuse. On a toujours l'impression qu'elle coupe à l'horizon. Marshmollow a dû s'amuser à prendre les virages à toute vitesse. Heureusement pour lui que je dormais car mes nerfs en auraient mangé un coup.

Ce petit village de pêcheur est très joli, j'y suis déjà passé avec ma mère il y a quelques années. Les cailloux sont tout lisses, tout ronds. Ils ressemblent à des oeufs. Nous descendons et nous longeons le rivage, en ne regardant non pas l'horizon mais bien le sol. Je crois qu'il y a des agathes dans ce coin. Mais nous n'en trouvons pas. Marshmollow se régalent des pierres plates et lisses et fait des ricochets. Il est vraiment champion en la matière. Il fait même faire des bonds à des pierres rondes. Il tente de m'enseigner, mais je ne suis pas une très bonne élève, je me décourage si je ne réussis pas.

En quittant Cloridorme, j'ai une pensée pour les filles de Gros Morne donc les parents sont morts aphyxiés alors qu'ils étaient dans ce village.

Nous roulons maintenant jusqu'à Gaspé, le temps est gris. Comme nous n'avons pas mangé de la journée, nous nous arrêtons dans un petit café. Le restaurant, donc j'ai malheureusement oublié le nom, est très chaleureux. Il nous plait beaucoup. Il est meublé avec des meubles anciens et dépareillés, ça lui donne un certain charme. Nous commandons une table d'hôte composée d'une crème de patates douces (à retenir c'était trop bon!) et d'un panini au choix. Marshmollow a pris un panini au végé pâté. Il a été un peu déçu. Parcontre moi j'ai pris un panini au poulet mariné, bacon, fromage et compote de pommes. Le mélange sucré salé est toujours un succès. J'adore ça. Je compte bien me faire le même panini au retour des vacances. Après le repas, nous faisons quelques boutiques. J'ai d'ailleurs trouvé la poupée Caillou que j'offrirai à Alexandre le fils de Marjorie, ainsi, elle pourra nettoyer l'autre sans endurer cris et pleurs. Elle a cherché partout en ville et elle n'a pas trouvé. Marshmollow a acheté l'extension Barbare pour les Colons de Catane version 2 joueurs, nous espérons avoir du temps pour essayer ça pendant nos vacances.

Nous reprenons la route direction Percé. Le temps est pluvieux quand nous arrivons dans le parc Forion donc nous prenons que quelques photos essentielles et on arrive à Percé juste à temps pour traverser au rocher. À vrai dire, la marée commence à être haute. Nous devons rouler nos bas de pantalons et enlever nos chaussures. C'est en marchant pieds nus dans l'eau que je ressens mon premier feeling de vacances. Je me sens trop bien dans l'eau. Ça doit être mon élément. L'eau qui me glisse sur les jambes est douce, elle est trop bonne. Malgré qu'il pleuve un peu, j'aurais envie de me baigner. Mais nous sommes un peu pressé car notre destination est la Nouvelle-Écosse. La boucle par la Gaspésie est un détour imprévu alors on a peu de temps. Mais dévorer des kilomètres et voir tous ces paysages, c'est bien agréable aussi. On ne regrette pas du tout.

Nous roulons encore jusqu'à Cartelon. Je connais bien ce village de la Baie des Chaleur alors j'ai bien envie d'y rester un peu de faire découvrir ce que j'en connais à Marshmollow. J'aimerais tant qu'il puisse jouir de la vue du Mont St-Joseph. En plus c'est la Maximum Blues moment, génial! Comme auparavant j'ai toujours pris mes vacances pendant les semaines de la construction, je n'ai jamais eu l'occasion d'assister à ce festival. Pat The White y sera en plus, chaque fois que je le vois il me surprend.

Nous avons l'intention de nous camper quand le tonnerre vient troubler notre tranquilité. Il faut se trouver un endroit pour dormir, un motel, un bed and breakfast, un hotel... J'appelle le gîte du Flaneur, charmant gîte où j'ai séjourné à quelques reprises dans le passé. Je semble déranger le propriétaire qui me dit qu'il est complet depuis mars. Je préférais le temps du Globetrotter, quand Nathalie et son copain en étaient propriétaires. Ils étaient bien plus sympathiques. Je me rappelle aussi leur chatte blanche Lulu, elle doit être morte maintenant, elle était déja âgé dans le temps.

Nous appelons l'information touristique qui nous dit que tout est complet jusqu'à Pointe-à-la-Croix. On devra remettre ça à une prochaine fois pour le maximum Blues, il faut vite se trouver un endroit pour dormir. Il pleut maintenant à boire debout et le soleil est couché derrière les montagnes. Arrivé à Pointe-à-la-Croix, le seul motel affiche complet, mais la sympathique hôtesse nous réserve une place bon marché à Matapédia au Motel de la vieille Gare, elle nous confirme que c'est très propre mais que c'est assez vieux. Nous sommes mal placés pour être difficile, il pleut, notre budget est limité.

Le motel de la vieille gare s'avère être une série de petits motels ainsi qu'une maison antique servant de restaurant. À peine sommes-nous dans l'entrée que déjà une odeur de mégots de cigarette surgit. À l'intérieur, il n'y a personne mais quelques tables restent à déservir. Il semble avoir eu un achalandage important. Nous apercevons un couple au comptoir, sûrement les propriétaires. Nous nous approchons, payons et la femme nous remets la clé no 1. Elle est tout en sueur, ses cheveux sont gras, ça me dégoute un peu. Le motel semble dessert, car notre voiture est seule dasn le stationnement. Nous allons à la chambre. Elle est toute petite, ça sent l'humidité, le matelas du lit est mou. Il n'y a qu'une douche. Marshmollow s'allonge sur le lit et ouvre la télévision. Il zappe un peu et s'arrête sur un poste payant avec film trois x. L'endroit me fait penser à un truck stop. Mais quand on paye 47$ pour la nuit il ne faut pas s'attendre au bain tourbillon et aux petites bulles de bain... Marshmollow saute dans la douche. Je m'installe avec le portable sur le lit et je joue quelques parties de Zuma. Ça sent vraiment mauvais, une odeur de pisse de chat on dirait. Je consulte Marshmollow quand il sort de la douche et il me dit que c'est sûrement l'humidité. Je suis un peu dédaigneuse. Je me demande ce que nous faisons dans ce trou à rats perdu dans la vallée de la Matapédia. Je vais prendre ma douche à mon tour. Quand je sors je vois Marshmollow allongé sur le lit qui se caresse le pénis du bout des doigts. Décidément il est une machine à sexe depuis le début des vacances, il a des érections constantes dans la voiture, me réclame toujours des gâteries. Ce n'est pas moi qui vais me plaindre. Je vais m'étendre à ses côtés. Il se redresse, lève ma serviette et commence à m'observer la fente avec appétit. Avec ses doigts il effleure les lèvres. Je suis toujours rasée de près, il adore ça. Il passe tout près du clitoris mais sans jamais y toucher. Il fait exprès, je me tortille et j'écarte mes jambes le plus possible en faisant un mouvement de bassin vers le haut. Il approche son visage et commence à me manger doucement. Il fait tomber une goutte de salive bien chaude entre mes lèvres et fait pénétrer son index dans mon vagin, je gémis.

Mon coeur se met à battre plus rapidement. Il enfonce son doigt profondément et fait des mouvements circulaires avec son pouce sur mon clitoris. Je crois que s'il continue je vais venir, mais il enlève vite son doigt pour ne poursuivre qu'avec sa langue. Il se redresse et amène sa verge à ma bouche. Je ne fais que serrer les lèvres, il entre et sort. Je me lève l'embrasse et le retourne violemment sur le dos. Je m'assis sur son membre très dur et je me laisse aller à quelques mouvements très langoureux. J'avance ma poitrine vers Marshmollow qui me mordille les mamelons. C'est un peu douloureux, mais ça m'excite quand même. Mes mamelons sont tout petit, ils sont tout contractés, seule la tétine dépasse. Je recommence à chevaucher Marshmollow telle une cavalière au galop et ensuite au petit trot. Le lit grince terriblement mais comme nous sommes seuls ça ne nous gêne pas. Nous venons en même temps. J'adore le sentir venir en moi. Ça me fait venir presqu'automatiquement.

Emportés par notre élan sexuel, nous avons quelques instants oublié l'insalubrité du Motel. L'odeur nauséabonde nous revient. D'ailleurs la route qui passe tout prêt nous donne l'impression que les camions vont nous passer dessus. Nous nous habillons avant de se mettre au lit car se coucher sur le lit infect ne nous inspire pas trop. Des plans pour qu'on se gratte toute la nuit.